Cette escroquerie à la carte bleue fait de gros ravages au sein des français. Les malfrats arrivent à leur soutirer toutes les informations dont ils ont besoin. Et cela, en toute légalité ! Mais alors, comment faire la différence entre un malfaiteur et la banque ? Voici comment déjouer les actions de ces arnaqueurs et ne plus avoir peur.
Carte bleue : Le nombre d’arnaques augmente de jour en jour #
Chaque jour, on voit de nouvelles formes d’arnaque apparaître sur les différentes plateformes d’information. Les malfrats usent de différents stratagèmes pour réaliser leurs méfaits. Entre la carte bleue, le pare-brise de la voiture et bien d’autres, ils ne manquent pas d’imagination !
Depuis un certain temps, les malfrats semblent affectionner particulièrement la carte bleue en tant que cible. Pourtant, ce mode opératoire représente un gros risque pour eux. En effet, les autorités peuvent retracer leur identité grâce aux évolutions technologiques actuelles. Mais pour l’heure, ils continuent toujours de sévir !
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Afin de réaliser leurs méfaits, les arnaqueurs utilisent les nouvelles technologies. Il faut dire qu’il existe encore de nombreuses personnes qui ne s’y habituent pas en ce moment. Cela concerne surtout les personnes âgées, qui recensent le plus grand nombre de victimes de l’arnaque à la carte bleue.
Les autorités mettent tout en œuvre afin de protéger leurs citoyens. Ils diffusent différentes informations concernant le procédé que les escrocs adoptent. Il en est ainsi de cette nouvelle approche qu’on appelle le « spoofing ». Voilà pourquoi il y a si peu de victimes, malgré les efforts des malfrats.
Un mode opératoire très bien ficelé ! #
La gravité de la situation pousse la police nationale à intervenir personnellement. Pour ce faire, elle détaille les informations concernant le « spoofing » sur les réseaux sociaux. Cette arnaque à la carte bleue a effectivement fait de nombreuses victimes en très peu de temps.
Pour faire simple, l’escroc contacte sa cible en se faisant passer pour sa banque. Son objectif, bien entendu, consiste à obtenir l’identifiant et le code secret de la personne. Alors, le malfrat se fait passer pour la banque et prétexte un problème lié à sa carte bleue.
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L’arnaqueur contacte sa victime via un mail, un SMS, ou même un appel téléphonique. Pour ce dernier, l’escroc dispose du numéro de la banque, ce qui est une usurpation bien sûr. Pour peaufiner son coup, le malfrat fait attention à tous les détails afin de ne pas se faire attraper.
Une fois qu’il obtient les informations concernant la carte bleue de sa victime, l’escroc peut faire ce qu’il veut. Dans la plupart des cas, il vire l’argent de sa cible vers des faux comptes. Ainsi, la police ne peut plus retracer son identité.
Carte bleue : Comment la protéger au maximum ? #
D’emblée, vous devez savoir que personne ne peut demander les informations concernant votre carte bleue. Si une personne vous appelle pour signaler un problème, vous devez rester vigilant. Si vous pensez avoir affaire à un escroc, contactez immédiatement votre conseiller bancaire ! Ce dernier peut vous aider à clarifier votre situation.
Si vous recevez des mails ou des SMS venant d’une personne inconnue, adoptez ces quelques réflexes. D’abord, ne cliquez sur aucun lien, même si votre interlocuteur vous assure que c’est sécurisé. Il en va de même pour les pièces jointes qu’il vous envoie. Le cas échéant, vous risquez de perdre le contrôle de votre carte bleue !
