Pour les adeptes du make-up, le démaquillage fait partie d’une routine incontournable. Cela sert à garder la peau propre, mais aussi à lutter contre les imperfections. Comme d’habitude, 60 millions de consommateurs aide les ménages en enquêtant sur les produits. Elle conseille d’éviter ces 2 références de démaquillants. Lisez la suite pour tout savoir !
60 millions de consommateurs enquête sur les démaquillants #
Le maquillage est devenu essentiel pour de nombreuses personnes. Et avec ce constat, les démaquillants sont également devenus une pièce maîtresse de la trousse de beauté. Mais si l’on en croit les chiffres, les produits les plus populaires sont les eaux micellaires.
Les eaux micellaires sont des produits à base d’eau. Elles sont conçues pour nettoyer la peau avec peu ou pas de maquillage. On peut également les utiliser en complément d’un lait démaquillant. La première eau micellaire à avoir existé est celle de Bioderma. Elle est apparue en 1991, comme l’a rappelé 60 millions de consommateurs dans son communiqué.
Selon Coralie Petermann, co-auteur de Skincare, « ces eaux contiennent des micelles, des particules nettoyantes. ». Elle ajoute que ces derniers « attirent et s’attachent au gras du maquillage lors du passage du coton ». De plus, c’est un démaquillant sans rinçage. Un principe auquel les peaux sensibles doivent déroger en raison de leur caractère détergent.
Depuis sa création, les offres et les références en démaquillants se sont multipliées sur le marché. Pour cette raison, dans son enquête, 60 millions de consommateurs s’est intéressé à ses composants. Les résultats ? Les experts ont découvert que deux références contenaient des ingrédients toxiques.
Ces deux références sont à éviter selon l’association #
Parmi les démaquillants que 60 millions de consommateurs a jugés mauvais figure l’eau micellaire hydratante de Diaderma. L’association y a trouvé environ 16 substances nocives pour la santé. Et la deuxième référence est Bioderma, qui en contient environ 10. Dans certaines de ces eaux, le magazine dit aussi avoir trouvé du polyaminopropyl biguanide. Il s’agit d’une substance pouvant être cancérigène.
Cependant, dans le même communiqué de presse, l’association souligne que les risques sont moindres. Selon le magazine, les molécules sont présentes dans ces démaquillants en quantités réglementaires. Ainsi, compte tenu de la surface du visage, le risque qu’elles atteignent l’organisme est plus faible.
Par ailleurs, la dermatologue Nina Roos partage cet avis. Elle explique que « la surface cutanée du visage représente environ 3 % de notre peau. ». Par conséquent, « si on rince le produit, une quantité infime passe dans le corps ». Il existe également des démaquillants qui contiennent du phénoxyéthanol. Les experts pensent que cette molécule favorise le cancer. De plus, il est irritant et allergisant.
Par ailleurs, il est vrai que de moins en moins de démaquillants contiennent des substances nocives. Chloé Arjona, responsable beauté de l’agence de stratégie marketing Nelly Rodi, le confirme. Elle précise : « certaines marques prennent même de l’avance sur les interdictions et allongent la liste des ingrédients qu’elles évitent ».
Démaquillants : Quel type de produit choisir ? #
Pour celles qui préfèrent l’eau micellaire, la solution est de faire attention aux ingrédients. Sinon, vous pouvez aussi opter pour d’autres types de démaquillants. Il existe par exemple des huiles, des laits, des gels et des mousses. L’essentiel est de choisir un produit adapté et sans risque.
Dans cette optique, 60 millions de consommateurs recommande un produit spécial démaquillant. Ce qui signifie : pas de savon ni de gel douche. Il doit également être adapté aux yeux. Les femmes aux peaux normales à mixtes et grasses et peu sensibles doivent opter pour les mousses. Les huiles conviennent à tous les types de peaux. Quant aux peaux sèches, les laits sont l’idéal.
